Conseil de sécurité: Couverture des réunions


CS/16084

Ce matin, le Conseil de sécurité a étudié l’avancement des travaux du Mécanisme international appelé à exercer les fonctions résiduelles des Tribunaux pénaux. Ce dernier a été créé en 2010 comme structure temporaire, afin de remplir les missions résiduelles du Tribunal pénal international pour le Rwanda (TPIR) et du Tribunal pénal international pour l’ex-Yougoslavie (TPIY), fermés respectivement en 2015 et 2017.

CS/16081

Le Conseil de sécurité a discuté, ce matin, de la situation dans une Afrique centrale « faisant face à des défis considérables, bien qu’elle reste et demeure une région pleine de potentialités et de ressources », comme l’a indiqué M. Abdou Abarry, Représentant spécial du Secrétaire général pour l’Afrique centrale.

CS/16080

Venue faire le point, cet après-midi au Conseil de sécurité, sur la mise en œuvre de la résolution 2118 (2013) relative à l’élimination du programme d’armes chimiques de la Syrie, la Haute-Représentante pour les affaires de désarmement s’est réjouie des possibilités qu’offre la « nouvelle réalité politique » dans le pays pour faire progresser ce dossier.

AG/12686

L’Assemblée générale a élu, ce matin, cinq nouveaux membres non permanents du Conseil de sécurité, à savoir Bahreïn, la Colombie, la Lettonie, le Libéria et la République démocratique du Congo, pour un mandat de deux ans qui débutera le 1er janvier 2026 et prendra fin le 31 décembre 2027.  Elle a également proclamé le 11 juillet, Journée mondiale du cheval, et adopté sa résolution annuelle sur la situation des déplacés et des réfugiés d’Abkhazie (Géorgie) et de la région de Tskhinvali/Ossétie du Sud (Géorgie).

CS/16077

Comme ce fut le cas déjà l’an dernier, six membres du Conseil de sécurité (Algérie, Chine, Fédération de Russie, Pakistan, Sierra Leone et Somalie) ont préféré s’abstenir alors que l’organe onusien renouvelait, pour un an, le régime de sanctions concernant le Soudan du Sud qui comprend un embargo sur les armes et des sanctions ciblées.

CS/16075

La Fédération de Russie a appelé ce matin, lors d’une réunion du Conseil de sécurité convoquée à sa demande, à régler les causes profondes du conflit en Ukraine afin de parvenir à la paix, se disant prête au dialogue, comme l’atteste sa proposition de tenir de nouveaux pourparlers le 2 juin prochain à Istanbul, en Türkiye.  Plusieurs délégations ont rejeté la position russe, affirmant à l’instar de la France, que la Russie ne cherche pas la paix mais la capitulation de l’Ukraine.  Cette séance a été marquée par des échanges acrimonieux entre les États-Unis et la Chine, les premiers accusant cette dernière de fournir des biens à double usage à la Russie.